Pour ou contre cette créature ?
Daniel Kieffer
Professeur de Créatures Magiques
Oreilles-Volantes
1. Genèse : L'oreilles-volantes est une créature qui a été inventée pour justifier que Daniel puisse être Maître de Confrérie dès son arrivée à Beauxbâtons. C'est pourquoi, après discussion avec Aliaume, je me permets de contourner la règle établit qui stipule qu'il n'est pas possible de créer de nouvelles créatures tant que les autres n'ont pas de description complète.
2. Catégorie : 1
3. Habitat : Prairie de montagnes (étages montagnard et subalpin)
4. Pays d’origine : France, Italie, Suisse
5. Taille au garrot : 2 à 3 cm
6. Poids : entre 40 et 60 grammes
7. Espérance de vie : un à deux ans
8. Descriptif : L'oreilles-volantes est une petite créature magique ressemblant à s'y méprendre à une souris grise quoique son pelage est d'un brun roux caractéristique. Son corps - du bout du nez à la base de la queue - mesure environ 7 centimètres pour un maximum mesuré de 10 centimètres. Contrairement à l'animal non-magique, l'oreilles-volantes est en revanche munie d'une paire d'oreilles rondes particulièrement développées dont le diamètre est au moins équivalent à celui de la face. Ces oreilles, en battant à haute vitesse, leur permettent - après avoir bondi à l'assaut d'une proie - de maintenir un état de vol sur un distance maximal de quinze à vingt mètre. Cela leur permet de capturer l'insecte qui est leur cible entre leurs antérieurs puis de les manger, parfois avant même d'avoir regagné le sol.
Il faut aussi noter que la queue est double depuis son attache sur l'arrière-main, l'une est aussi grande que le corps et la seconde fait une fois et demi la longueur de ce dernier. Leurs antérieurs sont relativement courts mais munies de mains très semblables à celles des humains, quoique leurs griffes sont bien plus acérées que nos ongles. Leurs postérieurs sont plus longs, notamment le pied. En effet, le tarse est quasiment aussi long que le tibia, permettant à l'animal une bonne force de propulsion. Ce petit quadrupède est digitigrade et se déplace sur ses quatre pattes (ou à l'aide de ses oreilles lorsqu'il chasse). Mais pour les tâches dites "statiques" (comme manger un fruit tenu entre ses pattes antérieures ou se laver le visage), il est tout à fait capable de se tenir assis sur ses postérieurs, il se trouve alors en appui sur ses métatarses et sa queue la plus longue lui sert alors de trépied lui permettant de ne pas basculer vers l'arrière. Les femelles sont généralement plus grandes et trapues que les mâles.
A l'instar des autres rongeurs, les oreilles-volantes vivent dans un terrier qu'ils creusent avec leurs antérieurs. L'entrée se trouve généralement au pied d'un arbre, d'un arbuste ou d'une roche. Les individus semblent s'accoupler par paire monogame. Chaque couple - qui se forme généralement vers les deux mois des individus - peut avoir entre 4 et 5 portées de six à huit petits sur toute une vie. Il s'agit d'une espèce omnivore qui, au printemps et à l'été, préfère les insectes et les fruits. Lorsque 'automne et l'hiver viennent, une oreilles-volantes privilégiera les graines et végétaux persistants.
Ce sont des petites créatures discrètes qui ont été découvertes par hasard par Daniel Kieffer au printemps 2021 dans une prairie du territoire de la réserve magique alpine française. Venu pour vérifier les sécurités magiques permettant d'isoler les créatures les plus dangereuses du reste de la réserve et de la population humaine, il a d'abord cru voir une souris courir dans l'espoir d'attraper un insecte. Ce n'est qu'en voyant l'animal bondir et surtout voler à la poursuite de la libellule qu'il s'est rendu compte qu'il ne s'agissait pas là d'un banal rongeur mais bien d'une créature potentiellement magique.
L'étude de ces petits spécimens fut long et laborieux. Il aura fallu tout d'abord faire de longues observations en milieu naturel pour comprendre leur fonctionnement. Bien que certains individus soient plus téméraires et approche l'humain, ce qui a permit une étude un peu plus rigoureuse et scientifique permettant d'obtenir quelques données morphologique, ces petits animaux magiques sont incompatibles avec la captivité. Quelque soit la taille de leur environnement, ceux-ci se laissent dépérirent et si par miracle un couple parvient à se reproduire, les deux parents se détournent de leurs petits qui ne peuvent donc survivre.
Malgré ces difficultés, il a été possible de créer un contact avec ces petites créatures qui se montrent relativement sociables mais aussi curieuses, notamment en ce qui concerne la nourriture. A force de contact, il a aussi été découverte par Daniel Kieffer que la salive des oreilles-volantes avaient un potentiel magique certains. En effet, la moindre plaie de ces petites bête cicatrise une fois léchée par lui-même ou un congénère. A ce jour, l'unique moyen de prélever de la salive est d'utiliser des moustaches si celles-ci sont tombées naturellement de l'animal pendant qu'il se lave le visage. Pour que les effets soient effectifs, il faut ensuite faire infuser la moustache dans une eau de source montagneuse frémissante dans les six heures suivant le moment où elle se détache du rongeur. L'eau infusée est alors un désinfectant et un cicatrisant efficace pour les plaies superficielles comme les éraflures et les griffures.
Le nom simpliste de cette créature vient d'un mot d'enfant, celui de Gabin Kieffer, fils aîné de Daniel.
2. Catégorie : 1
3. Habitat : Prairie de montagnes (étages montagnard et subalpin)
4. Pays d’origine : France, Italie, Suisse
5. Taille au garrot : 2 à 3 cm
6. Poids : entre 40 et 60 grammes
7. Espérance de vie : un à deux ans
8. Descriptif : L'oreilles-volantes est une petite créature magique ressemblant à s'y méprendre à une souris grise quoique son pelage est d'un brun roux caractéristique. Son corps - du bout du nez à la base de la queue - mesure environ 7 centimètres pour un maximum mesuré de 10 centimètres. Contrairement à l'animal non-magique, l'oreilles-volantes est en revanche munie d'une paire d'oreilles rondes particulièrement développées dont le diamètre est au moins équivalent à celui de la face. Ces oreilles, en battant à haute vitesse, leur permettent - après avoir bondi à l'assaut d'une proie - de maintenir un état de vol sur un distance maximal de quinze à vingt mètre. Cela leur permet de capturer l'insecte qui est leur cible entre leurs antérieurs puis de les manger, parfois avant même d'avoir regagné le sol.
Il faut aussi noter que la queue est double depuis son attache sur l'arrière-main, l'une est aussi grande que le corps et la seconde fait une fois et demi la longueur de ce dernier. Leurs antérieurs sont relativement courts mais munies de mains très semblables à celles des humains, quoique leurs griffes sont bien plus acérées que nos ongles. Leurs postérieurs sont plus longs, notamment le pied. En effet, le tarse est quasiment aussi long que le tibia, permettant à l'animal une bonne force de propulsion. Ce petit quadrupède est digitigrade et se déplace sur ses quatre pattes (ou à l'aide de ses oreilles lorsqu'il chasse). Mais pour les tâches dites "statiques" (comme manger un fruit tenu entre ses pattes antérieures ou se laver le visage), il est tout à fait capable de se tenir assis sur ses postérieurs, il se trouve alors en appui sur ses métatarses et sa queue la plus longue lui sert alors de trépied lui permettant de ne pas basculer vers l'arrière. Les femelles sont généralement plus grandes et trapues que les mâles.
A l'instar des autres rongeurs, les oreilles-volantes vivent dans un terrier qu'ils creusent avec leurs antérieurs. L'entrée se trouve généralement au pied d'un arbre, d'un arbuste ou d'une roche. Les individus semblent s'accoupler par paire monogame. Chaque couple - qui se forme généralement vers les deux mois des individus - peut avoir entre 4 et 5 portées de six à huit petits sur toute une vie. Il s'agit d'une espèce omnivore qui, au printemps et à l'été, préfère les insectes et les fruits. Lorsque 'automne et l'hiver viennent, une oreilles-volantes privilégiera les graines et végétaux persistants.
Ce sont des petites créatures discrètes qui ont été découvertes par hasard par Daniel Kieffer au printemps 2021 dans une prairie du territoire de la réserve magique alpine française. Venu pour vérifier les sécurités magiques permettant d'isoler les créatures les plus dangereuses du reste de la réserve et de la population humaine, il a d'abord cru voir une souris courir dans l'espoir d'attraper un insecte. Ce n'est qu'en voyant l'animal bondir et surtout voler à la poursuite de la libellule qu'il s'est rendu compte qu'il ne s'agissait pas là d'un banal rongeur mais bien d'une créature potentiellement magique.
L'étude de ces petits spécimens fut long et laborieux. Il aura fallu tout d'abord faire de longues observations en milieu naturel pour comprendre leur fonctionnement. Bien que certains individus soient plus téméraires et approche l'humain, ce qui a permit une étude un peu plus rigoureuse et scientifique permettant d'obtenir quelques données morphologique, ces petits animaux magiques sont incompatibles avec la captivité. Quelque soit la taille de leur environnement, ceux-ci se laissent dépérirent et si par miracle un couple parvient à se reproduire, les deux parents se détournent de leurs petits qui ne peuvent donc survivre.
Malgré ces difficultés, il a été possible de créer un contact avec ces petites créatures qui se montrent relativement sociables mais aussi curieuses, notamment en ce qui concerne la nourriture. A force de contact, il a aussi été découverte par Daniel Kieffer que la salive des oreilles-volantes avaient un potentiel magique certains. En effet, la moindre plaie de ces petites bête cicatrise une fois léchée par lui-même ou un congénère. A ce jour, l'unique moyen de prélever de la salive est d'utiliser des moustaches si celles-ci sont tombées naturellement de l'animal pendant qu'il se lave le visage. Pour que les effets soient effectifs, il faut ensuite faire infuser la moustache dans une eau de source montagneuse frémissante dans les six heures suivant le moment où elle se détache du rongeur. L'eau infusée est alors un désinfectant et un cicatrisant efficace pour les plaies superficielles comme les éraflures et les griffures.
Le nom simpliste de cette créature vient d'un mot d'enfant, celui de Gabin Kieffer, fils aîné de Daniel.
Aliaume Delalande
Directeur & Professeur d’Alchimie
Hey mais on l’a déjà vu dans un Ratatouille lui !
Blague à part, je suis conquis par cette petite créature et n’ai qu’une question relative à sa taille : au garrot tu indiques qu’elle mesure 2 à 3 centimètres mais dans la description tu dis que son corps mesure plutôt entre 7 et 10 centimètres. Comme sur l’illustration, j’imagine qu’elle peut se dresser sur ses pattes arrière ou tu considères qu’elle passe le plus clair de son temps à quatre pattes ?
Blague à part, je suis conquis par cette petite créature et n’ai qu’une question relative à sa taille : au garrot tu indiques qu’elle mesure 2 à 3 centimètres mais dans la description tu dis que son corps mesure plutôt entre 7 et 10 centimètres. Comme sur l’illustration, j’imagine qu’elle peut se dresser sur ses pattes arrière ou tu considères qu’elle passe le plus clair de son temps à quatre pattes ?
Lorie Fleury
6ᵉ année, Déléguée, Ogme
Bonjouuur !
Je pense que si une règle venant d’être établie a déjà besoin d’être outrepassée c’est que la règle pose problème ou que celle ci n’offre pas une équité suffisante, même si je comprends l’idée de remplir les descriptions manquantes, mais bref je vais pas m’étendre sur ce sujet.
Pour ce qui est de la petite souris mignonne ça sera oui pour moi !
Je pense que si une règle venant d’être établie a déjà besoin d’être outrepassée c’est que la règle pose problème ou que celle ci n’offre pas une équité suffisante, même si je comprends l’idée de remplir les descriptions manquantes, mais bref je vais pas m’étendre sur ce sujet.
Pour ce qui est de la petite souris mignonne ça sera oui pour moi !
Daniel Kieffer
Professeur de Créatures Magiques
Bonjour ;)
On m'a parlé de Mickey et de Ratatouille. Y'a Bernard et Bianca aussi!
La longueur du corps c'est du bout du nez à la base de la queue. La hauteur au garrot c'est le haut de l'omoplate jusqu'au sol. Je voulais donner un peu plus d'indication sur le format/volume de la petite bête qui de déplace à 4 pattes (ou en battant des oreilles) mais pour les tâches en "statique" comme manger un fruit tenu entre ses pates antérieures ou se laver le bout du nez elle se met sur ses pattes arrières
On m'a parlé de Mickey et de Ratatouille. Y'a Bernard et Bianca aussi!
La longueur du corps c'est du bout du nez à la base de la queue. La hauteur au garrot c'est le haut de l'omoplate jusqu'au sol. Je voulais donner un peu plus d'indication sur le format/volume de la petite bête qui de déplace à 4 pattes (ou en battant des oreilles) mais pour les tâches en "statique" comme manger un fruit tenu entre ses pates antérieures ou se laver le bout du nez elle se met sur ses pattes arrières
Aliaume Delalande
Directeur & Professeur d’Alchimie
Merci pour la précision
@Lorie Fleury Daniel avait intégré cette créature dans son background et elle aurait pu y rester mais, bien avant qu’on se dise qu’il fallait sans doute boucler la trentaine de descriptions existantes, il me semblait plus sympa que ses élèves sachent ce qui faisait sa renommée : d’où l’idée de publier cette fiche. L’intérêt est purement RP (d’autant plus qu’il ne décrocherait aucune poussière). Le connaissant, Daniel ne devrait pas manquer de se frotter aux fiches des créatures existantes dans les prochaines semaines.
Je m’en vais voter !
@Lorie Fleury Daniel avait intégré cette créature dans son background et elle aurait pu y rester mais, bien avant qu’on se dise qu’il fallait sans doute boucler la trentaine de descriptions existantes, il me semblait plus sympa que ses élèves sachent ce qui faisait sa renommée : d’où l’idée de publier cette fiche. L’intérêt est purement RP (d’autant plus qu’il ne décrocherait aucune poussière). Le connaissant, Daniel ne devrait pas manquer de se frotter aux fiches des créatures existantes dans les prochaines semaines.
Je m’en vais voter !
Lorie Fleury
6ᵉ année, Déléguée, Ogme
J’entends et je me doute, néanmoins je pense que sa renommée aurait pu être faite sur une découverte concernant l’une des créatures existantes ou à l’international ce n’est pas finalement les choses qui manquent pour justifier le background et la prise de poste.
Je ne m’oppose pas à la créature de toute façon., c est juste que la façon dont ça a été fait et la règle me laisse perplexe même si je comprends parfaitement les motivations.
Je ne m’oppose pas à la créature de toute façon., c est juste que la façon dont ça a été fait et la règle me laisse perplexe même si je comprends parfaitement les motivations.
Daniel Kieffer
Professeur de Créatures Magiques
J'ajoute la dite précision dans le corps de texte de suite ;)
Teilo Daroux
3ᵉ année, Délégué, Lug
Je n'ai rien à redire sur la présentation, la créature est rigolotte et je viens pour le coup d'apprendre que les souris avaient des périodes de gestation vraiment très courtes, chose que je ne savais pas !
Mon vote sera donc un grand oui.
Mon vote sera donc un grand oui.
Drian Vaillant
7ᵉ année, Délégué, Ogme
Je vote pour, la description est très complète, aucune question ne me vient :)
Gabriel Miller
3ᵉ année, Lug
Bonjour,
J’aime beaucoup l’idée de cette petite créature et tout semble très complet, du moins n’ais-je pas de questions. Je vote donc pour !
J’aime beaucoup l’idée de cette petite créature et tout semble très complet, du moins n’ais-je pas de questions. Je vote donc pour !
Aliaume Delalande
Directeur & Professeur d’Alchimie