Le Narrateur
Ami des Lettres
Ce sujet RP a pour but de permettre à chaque personne inscrite de s'approprier son personnage ainsi que le contexte de Beauxbâtons.fr.
Chaque personne qui le souhaite est invitée à écrire un RP en post unique d'au moins 200 mots ou à interagir avec d'autres nouveaux joueurs dans le contexte suivant:
La rentrée de septembre s'effectue le premier samedi du mois. Pensez à parler des personnes qui vous accompagnaient. N'oubliez pas de précisez l'état d'esprit dans lequel vous étiez, nous voulons tout savoir ! Qu'avez vous ressenti en voyant les carrosses ? Et les Abraxans ? Était-ce la première fois que vous découvriez le monde magique ? N'oubliez aucun détail!
Pour vous aider, voici comment Aniel Kieffer a vécu les choses le 02 septembre 1944:
Chaque personne qui le souhaite est invitée à écrire un RP en post unique d'au moins 200 mots ou à interagir avec d'autres nouveaux joueurs dans le contexte suivant:
Voyage et arrivée à la Gare d'Austerlitz.
Puis départ pour Beauxbâtons, dans un carrosse, pour sa première rentrée.
Puis départ pour Beauxbâtons, dans un carrosse, pour sa première rentrée.
La rentrée de septembre s'effectue le premier samedi du mois. Pensez à parler des personnes qui vous accompagnaient. N'oubliez pas de précisez l'état d'esprit dans lequel vous étiez, nous voulons tout savoir ! Qu'avez vous ressenti en voyant les carrosses ? Et les Abraxans ? Était-ce la première fois que vous découvriez le monde magique ? N'oubliez aucun détail!
Pour vous aider, voici comment Aniel Kieffer a vécu les choses le 02 septembre 1944:
- Spoiler:
- Il était tôt ce matin là quand Aniel Mercier, 11 ans, fut réveillée par sa mère. Enfin réveillée... Elle avait si peu dormi. Disons que sa mère était venu lui dire qu'il était temps de se lever. Il faisait encore noir dehors. A tâtons - il ne fallait pas gâcher des allumettes ou des bougies - elle quitta ses édredons, prit sa pile de vêtements et rejoignit la cuisine. La maison était silencieuse si on exceptait quelques bruits de vaisselle qui s'entrechoque. Son père et son petit frère dorment encore. Dans la cuisine, elle prit son petit déjeuner, fit une toilette sommaire avec l'eau froide de la bassine métallique, s'habilla... Bientôt elle allait partir. Elle vérifie une dernière fois sa valise. C'était l'heure. Au moment de franchir la porte m, elle se retourna. Son père était au bout du couloir. La fillette signa 'au revoir', son père lui répondit de même en ajoutant dans la même langue 'je t'aime, prends soin de toi'. Aniel cligne des yeux et s'obligea à franchir le seuil de la maison. Sa mère et elle avaient un train à prendre.
Gare d’Épernay. Des allemands partout. Par chance, on ne fouille pas sa valise. Sa baguette a été cachée dans la doublure en tissu. Ses vêtements de l'académie son soigneusement pliée et dissimulée dans des blouses. La magie a été dissimulée au mieux. Paris. Gare de l'est. Les deux champenoises cherchent un plan. Il leur faut traverser Paris. Elles prennent un taxi, il est tôt, il y a peu de circulation.
Paris. Gare d'Austerlitz. Zone magique. Elles ont eu de la difficulté à se rendre au bon endroit. Sa mère n'a pas pu pénétrer en zone magique avec elle. Elles se sont dit au revoir devant la façade en retenant quelques larmes puis, quand le sans abris à dit à la pré-adolescente de passer, celle-ci a inspiré un grand coup, ses épaules montant et descendant dans un grand geste, puis passa le mur. Elle y découvrit un lieu grouillant de monde et des carrosses immenses attelés à des chevaux tout aussi immenses avec des ailes... des ailes immenses. Elle était estomaquée. La châtain resta interdite alors que les sorciers autour d'elle étaient animés. C'était l'effervescence et c'est un homme qui la pressa. Elle devait monter pour partir à Beauxbâtons. Ce qu'elle fit mécaniquement. Elle déglutit en entrant dans un véhicule et découvrit d'autres jeunes sorciers d'âges différents. Elle les observait les yeux ronds. Une fille qui devait bien avoir 15 ans la rassura, l'aida à placer sa valise en sûreté et l’invita à s'asseoir avant que le convoi ne parte. L'aventure commençait.
Daniel Kieffer
Professeur de Créatures Magiques
Samedi 06 septembre 1997
Daniel n'était pas spécialement un lève-tôt, mais pas vraiment un lève-tard non plus, mais ce matin là, il s'était réveillé aux aurores. Même avant ça! Il faisait encore nuit bien noir et le cadran à aiguilles de son réveil indiquait cinq heures trente du matin. Bien plus tôt que ce qui était normalement nécessaire pour se préparer. Alors, il avait essayer de se rendormir. Mais rien n'y avait fait et à part se tourner dans tous les sens dans son lit, il n'avait pas réussi à grand chose! Ah, si! Entortiller sa couette dans ses jambes! Pas particulièrement pratique. Alors, il avait fini par quitter ses draps le plus discrètement possible. En deux pas, il avait pu prendre ses vêtements posés sur sa chaise puis sortir de la chambre qu'il partageait avec sa cadette. La porte grinça. Le garçon grimaça mais la respiration de Rachel resta parfaitement régulière. Mission réussie!
Quelques heures plus tard, c'était une sacrée agitation dans l'appartement! Sa grand-mère maternelle venait d'arriver pour s'occuper de sa petite-sœur qui, bien que prévenue, tempêtait qu'elle voulait les accompagner alors que leur père lui réexpliquait, la voix grondante, que le programme ne changerait pas le moins du monde. Mais Daniel n'y prêtait pas spécialement attention, il devait de son côté affirmer à sa mère que oui il avait bien pris chaque élément qu'elle était en train de lister consciencieusement. Après tout, ils avaient fait ses bagages ensemble sur toute la semaine. Il ne pouvait pas manquer quelque chose d'essentiel là dedans? Si? Voilà qu'il se mettait à douter et que sa mère s'agaçait elle aussi de son manque d'assurance à ce sujet. Il avait juste envie de disparaître mais non, impossible. Ils se mettaient à vérifier.
Par chance, cela ne les mis pas en retard et le trio put transplaner en temps et en heure à proximité de la gare parisienne. Daniel, après la montée d'adrénaline de la vérification de ses affaires, sentait l'angoisse monter. Il y avait du monde partout. Dans la rue, près de la façade, dans la zone d'embarquement... le petit garçon qu'il est encore ne peut pas s'empêcher de se serrer contre le corps rassurant de sa maman et de serrer fort sa main dans la sienne. Mais pas trop longtemps. Il est grand maintenant, il va bientôt s'envoler vers Beauxbâtons dans de magnifiques carrosses tirés par...
Des abraxans encore plus splendides que leurs attelages. Il était captivé par leur allure, comme à chaque fois qu'il avait pu les aborder avec l'un de ses aïeux. Ses yeux brillèrent, un sourire se dessina... La main de son père se posa sur son épaule et le ramène à la réalité. C'est le moment de se dire au revoir et de monter dans son moyen de transport à destination des Pyrénées. Des perles salées se logent au coin de ses yeux mais il les retint et respira un grand coup. Son pied se posa sur la marche et il entra dans le carrosse. D'autres jeunes gens d'âge différents se trouvaient là. Il leur sourit timidement et posa son séant sr une place libre près d'une fenêtre pour faire, il l'espérait, un dernier signe à ses parents.
Quelques heures plus tard, c'était une sacrée agitation dans l'appartement! Sa grand-mère maternelle venait d'arriver pour s'occuper de sa petite-sœur qui, bien que prévenue, tempêtait qu'elle voulait les accompagner alors que leur père lui réexpliquait, la voix grondante, que le programme ne changerait pas le moins du monde. Mais Daniel n'y prêtait pas spécialement attention, il devait de son côté affirmer à sa mère que oui il avait bien pris chaque élément qu'elle était en train de lister consciencieusement. Après tout, ils avaient fait ses bagages ensemble sur toute la semaine. Il ne pouvait pas manquer quelque chose d'essentiel là dedans? Si? Voilà qu'il se mettait à douter et que sa mère s'agaçait elle aussi de son manque d'assurance à ce sujet. Il avait juste envie de disparaître mais non, impossible. Ils se mettaient à vérifier.
Par chance, cela ne les mis pas en retard et le trio put transplaner en temps et en heure à proximité de la gare parisienne. Daniel, après la montée d'adrénaline de la vérification de ses affaires, sentait l'angoisse monter. Il y avait du monde partout. Dans la rue, près de la façade, dans la zone d'embarquement... le petit garçon qu'il est encore ne peut pas s'empêcher de se serrer contre le corps rassurant de sa maman et de serrer fort sa main dans la sienne. Mais pas trop longtemps. Il est grand maintenant, il va bientôt s'envoler vers Beauxbâtons dans de magnifiques carrosses tirés par...
Des abraxans encore plus splendides que leurs attelages. Il était captivé par leur allure, comme à chaque fois qu'il avait pu les aborder avec l'un de ses aïeux. Ses yeux brillèrent, un sourire se dessina... La main de son père se posa sur son épaule et le ramène à la réalité. C'est le moment de se dire au revoir et de monter dans son moyen de transport à destination des Pyrénées. Des perles salées se logent au coin de ses yeux mais il les retint et respira un grand coup. Son pied se posa sur la marche et il entra dans le carrosse. D'autres jeunes gens d'âge différents se trouvaient là. Il leur sourit timidement et posa son séant sr une place libre près d'une fenêtre pour faire, il l'espérait, un dernier signe à ses parents.
Roseanne Leroy
2ᵉ année, Dagda
Samedi 2 septembre 2023
Allongée dans son lit, les yeux grands ouverts, fixés sur le plafond, Roseanne attendait. Chaque seconde qui passait semblait être une éternité. La jeune fille était tentée de regarder l'heure sur sa montre posée sur sa table de nuit, mais pour ça, elle devrait allumer la lumière et risquerait ainsi de signaler son réveil. Non, mieux valait attendre, on viendrait bien assez tôt la chercher.
Depuis quand était-elle là à fixer le plafond ? Elle ne saurait le dire, sa nuit avait été courte. Trop excitée pour dormir, elle se forçait tout de même à rester immobile sur son lit laissant ses pensées vagabonder. Ça y est, à presque douze ans, elle allait faire sa rentrée dans la prestigieuse académie de magie française. Par Merlin qu'elle maudissait d'être né en fin d'année !
Tendant l'oreille, Roseanne perçut le son caractéristique de bruit de pas qui se rapprochait. Le bruit caractéristique d'une clé dans une serrure se fit entendre et la porte s'ouvrit enfin. Sept heures trente avaient sonné. Sa préceptrice ouvrir la porte en grand, entra sans un mot pour ouvrir les volets puis repartie toujours sans un mot. Le même rituel tous les matins depuis que la jeune fille avait appris à obéir sans discuter.
Roseanne se leva et fila dans la salle de bain pour se préparer. Quinze minutes plus tard, précisément, elle posait le pied dans la salle à manger du rez-de-chaussée. La nourriture fut avalée sans un bruit, après quoi, la jeune fille observa sa préceptrice vérifiée ses bagages. Une fois sûr que tout était prés la jeune fille eu le droit à temps libre avant le départ.
Assise dans un des canapé, un livre à la main, Roseanne fixer les pages sans comprendre un seul mot qu'elle lisait. Elle savait bien que ses parents ne seraient pas là, pourtant, elle ne pouvait s'empêcher de fixer la cheminée dans l'espoir que l'un d'eux allait se montrer. Évidement, la cheminée resta vides. Onze heures arriva rapidement et Roseanne prit le bras de sa préceptrice afin de transplaner jusqu'à la gare d’Austerlitz ou en tout cas pas très loin.
Se faufilant à travers la foule, les deux sorcières arrivèrent rapidement devant le passage sous la statue représentant l'Agriculture. Sa préceptrice n'irait pas plus loin. Un au revoir à demi-mot fut prononcé puis la jeune fille prit sa valise et traversa le mur sans un regard en arrière. Enfin, pour la première fois, elle était livrée à elle-même.
Roseanne se retrouva estomaqué par la grandeur des lieux. Les Abraxans, était mille fois plus beau que ce qu'on lui avait décrit. Bien plus grand et majestueux, aussi, pour elle qui n'en avait jamais vu, c'était un spectacle tout bonnement magique. Très vite, on lui prit sa valise et elle fut rapidement conduite vers un carrosse.
La jeune fille était émerveillée par tout ce qu'elle voyait, mais faisait de son mieux pour masquer ses émotions. Elle avait tellement hâte d'arriver à l'Académie qu'elle en tremblait presque d'impatience. Le carrosse devant lequel on la conduisit était si grand que la jeune fille se trouvait bien minuscule à côté. Ne se laissant pas démonter pour autant, elle grimpa rapidement les marches de sa démarche assuré.
Une fois à l'intérieur, elle salua rapidement les trois camarades déjà présents à l'intérieur. Des premières années qui faisaient connaissance de ce que Roseanne comprenait de l'échange. Malheureusement, elle n'était pas en état de tenir une discussion correcte et les autres se désintéressèrent bien vite d'elle, trop d'émotions se bousculait en elle. Excitation, peur de l'inconnu, nouveauté tout ça saupoudrer d'un vent de liberté. Regardant par la fenêtre, la jeune fille se laissa transporter jusque dans l'inconnu.
Jessica Landi
Professeure d’Artisanat Magique
Paris, samedi 3 septembre 1988
J’avais pris pour la troisième fois, hum non plus que ça, attends, hum bref je ne sais plus mais j’avais pris le réseau de cheminées pour rejoindre Paris afin d’atteindre la gare d’Austerlitz. C’était un drôle de nom pour une gare. Ça ressemblait un peu aux noms de villages dans les alentours de la maison. Avec ma famille, on avait pris le hall où il y avait plein de carrosses. C’est comme ça que j’allais enfin aller à Beauxbâtons. J'avais accompagné mes parents pour Stan et Abigael, dès que je fus en âge, pour leurs rentrées. Mais cette fois-ci, c’était mon tour et pour tout vous avouer j’étais un peu nerveuse, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, Abi n’avait jamais rien dit sur comment on allait dans une confrérie. Est-ce qu’il y avait une épreuve? Est-ce que c'est dangereux le voyage?On croisa un certain nombre d’adultes avec des uniformes dans la gare. Il y en a un qui a pris mes bagages alors je lui ai souri, crispée, et l’ai remercié. Maman était occupée mais elle m’avait toujours dit de dire merci.
Après plusieurs minutes de marche et d’embrassades (toute la famille était là, mes cousins et cousines qui allaient eux-aussi à l’académie, leurs parents etc.); la délégation suisse que l’on composait, se dirigea vers un carrosse vide. Ceux déjà élèves arboraient fièrement leur broche (du moins c’est ce que moi je pensais). Est-ce que j'allais en avoir une moi-aussi si je réussissais l'épreuve?
Je pencha la tête, presque complètement, pour admirer l’énorme boite ronde dans laquelle il fallait rentrer. Ma sœur n’avait pas eu le temps de rejoindre ses copains, mais de toute manière, on remplissait un carrosse à nous tout seul avec la famille. On m’aida à monter les marches qui nous séparaient du sol et qui étaient vachement hautes. Pour tout vous dire, je n’ai même pas fait attention aux chevaux avec des ailes. Je poussa un waouh d’admiration lorsque j’entrai dans mon moyen de locomotion du jour. C’était super méga gen’! Comment ça pouvait être aussi grand?
Je n’eus pas eu le temps de trouver le trajet long parce qu’on a discuté pratiquement tout le voyage. Enfin pas tout à fait, car à un moment je me suis un peu assoupie, bercée par les mouvements du vol. Vous saviez qu’il y avait des lits qui apparaissaient comme ça?
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